Au revoir Dominique GEY

Dominique GEY, Conseiller municipal de la Ville de Sarreguemines et Vice-président de la Communauté d’Agglomération Sarreguemines Confluences, s’est éteint le 7 mai dernier, entouré des siens.

Né à Bitche, il y a presque 60 ans, Dominique était unanimement apprécié de ses proches. Il était de ces collègues sérieux et discrets qui inspirent la confiance et suivent avec assiduité leurs dossiers. Depuis ses débuts professionnels au Centre Hospitalier Spécialisé, cet infirmier de formation n’a cessé de gravir les échelons jusqu’au grade de cadre supérieur de santé. La gestion et le management faisaient ainsi partie de son quotidien. En poursuivant sa carrière à l’Institut de Formation en Soins Infirmiers de Sarreguemines (IFSI), c’est d’une certaine façon la voie de la transmission des savoirs qu’il emprunta.

Alors, lorsqu’en 2020 il répond à l’appel de Marc ZINGRAFF et entre sur la scène politique locale, c’est tout naturellement qu’il finit par hériter de la fonction de Vice-président en charge de l’enseignement supérieur à l’Agglo.

La santé et l’enseignement… ces deux thématiques ont joué un rôle central pour Dominique et symbolisent parfaitement le grand projet du nouvel IFSI pour lequel il s’est beaucoup engagé. Il gardait aussi un œil attentif sur l’IUT de Sarreguemines. Au mois de mars dernier, sur la Scène de l’Hôtel de Ville, il était d’ailleurs présent, aux côtés de Philippe BURG (Directeur de l’IUT de Moselle-Est) et du Maire Marc ZINGRAFF, pour remettre les diplômes aux étudiants de la promotion 2022.

Dans sa vie privée, il était amateur de golf, de randonnée et de nature et avait fait de sa famille un sanctuaire qu’il chérissait et soutenait avec beaucoup de bienveillance. Son épouse Doris, sa fille Johanna et sa petite fille Elya - les femmes de sa vie - étaient ses trésors.

La disparition de Dominique GEY laisse un grand vide dans les cœurs de la grande famille municipale. Ses collègues garderont de lui le souvenir d’un homme engagé dont la grande compétence n’avait d’égal que l’attachement viscéral qu’il portait à la chose publique et à Sarreguemines.